marți, 31 mai 2016

"L'HOMME DU AL - ARAM AS - SARIF" d'ADRIAN COSTEA



„Plus qu'un mystère archéologique caché dans les profondeurs inexplorées d'une pyramide égyptienne, ou comme un labyrinthe extrêmement précis et affûté qui, par la densité de ses nœudss réussit à contenir l'explosion de sa propre libération, c'est de l'origine même du mythe humain dont nous parle Adrian Costea”. (Tamae Cziricos)

Vidéo créé par Miron Manega

luni, 30 mai 2016

"ELLE N'AVAIT QUE VINGT ANS" D'ADRIAN COSTEA



"Prince, n'enquerez de sepmaine
Où elles sont, ne de cest an,
Qu'à ce refrain ne vous remaine:
Mais où sont les neiges d'antan!"
( François Villon)

Vidéo créé par MIRON MANEGA

marți, 24 mai 2016

„LE HURLEMENT” D'ADRIAN COSTEA


„Comme certains personnages de Dostoïevski qui semblent vivre sans même que nous ayons besoin de les lire, les œuvres semblent fonctionner d'elles-mêmes, à l'intérieur de leurs propres rouages mécaniques et mystiques. La démesure physique de ces œuvres est un leurre, qui cache un désir de s'affranchir de leur destin d'êtres matériels et logiques. Plus qu'un mystère archéologique caché dans les profondeurs inexplorées d'une pyramide égyptienne, ou comme un labyrinthe extrêmement précis et affûté qui, par la densité de ses nœudss réussit à contenir l'explosion de sa propre libération, c'est de l'origine même du mythe humain dont nous parle Adrian Costea”. (Tamae Cziricos)

Vidéo créé par Miron Manega

LE GOLEM COSTEA: „J’accuse...! E. Zola / Moi aussi...! A. Costea”


Depuis Persée, personne n’a réussi, ni dans la fiction, ni en réalité, à placer devant l’humanité un miroir aussi meurtrier que cette étrange sculpture-installation d’Adrian Costea, existentiellement insupportable et grandiose par les perspectives philosophiques qu’elle engendre: « J’accuse… ! E. Zola / Moi aussi… ! A. Costea ». En mentionnant le héros grec Persée, je pense expressément au visage de la Gorgone Méduse, que personne ne pouvait regarder sans être pétrifié; la Méduse elle-même, le contemplant dans le bouclier du héros, est devenue un bloc de pierre. (Miron Manega)